![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]()
|
![]() |
![]() |
|||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
||||||
![]() |
|||||||||||||||
En 1993, le magazine Velo Vert décide de
lancer une élection visant à choisir le VTT de l'année,
un peu comme pour les voitures, à ceci près que même
si les lecteurs et quelques détaillants sont associés, le
reste de la presse spécialisée est tenu à l'écart,
et l'initiative reste franco-française. L'impact médiatique se révèle important, et la plupart des élus seront effectivement des best-sellers. Plusieurs constructeurs ont pris l'habitude de truster les places du podium : Sunn classé 4 fois, Marin et Lapierre classés 3 fois, Specialized et Cannondale classés 2 fois. Dans les premières élections 2 marques placées sur les 3 étaient françaises, et les vélos quasiment toujours issus du milieu-haut-de-gamme, et à vocation sportive. Depuis deux ans, les vélos étrangers aux configurations "exotiques" et les vélos de prestige sont entrés dans le palmarès. D'une élection qui privilégie le consensus, le rapport qualité-prix, la production française, on est passé au ressenti passionnel, à l'amour du beau matériel, au goût de la rareté et du prestige |
![]() |
||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||
![]() |
|||||||||||||||
|
![]() |
||||||||||||||
![]() |
![]() |
||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
|||||||||
Tous
droits réservés 1996-2002 © ASPTT Châlons-en-Champagne
- réalisation Philippe
Baumel
|
![]() |